Togo/olympisme : Lomé accueille les jeux de l’ACNOA, Zone 3
Lomé, la capitale du Togo sera l’attraction du 03 au 09 septembre 2023. L’événement en vue, les jeux de l’ACNOA de la zone 3 dont la mascotte a été présentée ce lundi à la presse.
Le point d’orgue avant la présentation de la mascotte a été la signature du protocole d’accord, entre le Comité National Olympique du Togo et l’ACNOA, zone 3. Akpaki Deladem, le patron de l’olympisme togolais, a échangé des documents signés avec son homologue burkinabé, Jean Yameogo, président également de la zone 3 de l’Association des Comités Nationaux Olympiques d’Afrique.
Le protocole confère ainsi au Togo, l’organisation des jeux de la zone 3 dans la première semaine du mois de septembre. C’est le fruit d’un challenge sur deux mois qui a vu le Togo et le Ghana se disputer l’attribution. De Séoul à Lomé, en passant par Alger, le Comité National Olympique du Togo s’est montré solide dans sa candidature qui a fini par retenir l’assentiment de la majorité des huit pays de la zone 3.
Les jeux de zone 2023 vont ainsi regrouper à Lomé près de 600 athlètes pour un quota de 60 par délégation. Trois disciplines chez les dames à savoir le basket 3 x 3, le volley-ball et le handball sont retenues pour ces jeux. La boxe également au menu sera exclusivement mixte. Il est prévu éventuellement du beach hand et volley.
Outre ces disciplines dans lesquelles les athlètes devront s’affronter, l’organisation prévoit les exhibitions de quelques disciplines comme le tir à l’arc, le break dance, le tchookball ou encore la lutte codifiée.
La signature du protocole d’accord a eu lieu en présence des responsables des fédérations concernées. La mascotte présentée également fait office d’une aubaine pour le Togo de renforcer par le sport, le climat de paix et d’hospitalité dont il jouit déjà.
Le défi est donc grand pour Akpaki Deladem et son institution pour cette première édition de ces jeux de zone 2023. L’objectif étant de rapprocher les pays de la zone 3 que sont, le Nigeria, le Bénin, le Burkina Faso, le Ghana, la Côte d’Ivoire, le Liberia, le Niger et le Togo.
Le processus d’organisation est donc lancé. À chaque fédération donc de présenter des équipes à même d’offrir des chances de médailles et de trophées à son pays. La compétition est réservée aux seniors dames à l’exception de la boxe qui sera mixte.