
Claire Ayivon connaîtra en 2020 ses deuxièmes Jeux olympiques de suite en aviron. Après avoir bénéficié d’une place d’universalité en 2016 à Rio, la jeune togolaise a profité des championnats africains d’aviron tenus à Tunis pour valider directement son billet pour Tokyo. Claire Ayivon a répondu à quelques questions de djenasport.
Comment vous sentez après une telle qualification pour les Jeux olympiques de 2020 ?
Je suis contente du travail que j’ai accompli. Ce n’était pas du tout facile. Trois jours de suite de compétition, n’ont jamais été faciles. Je le savais, mais il fallait à tout prix foncer et c’est ce que j’ai fait. Je suis soulagée et contente (sourire).
En 2016, vous étiez aux JO grâce à une place d’universalité, aujourd’hui vous validez les minima, comment expliquez-vous cette performance ?
C’est vrai, j’étais déjà aux Jeux olympiques en 2016, mais c’était grâce à une place d’universalité. Vous savez quand vous goûtez aux compétitions comme les JO, vous avez toujours envie d’y être. Et pour moi la meilleure façon de garantir sa place, c’est de réaliser les minima et afin d’y être grâce à son travail et à ses efforts. Je suis fière de ma performance réalisée aux championnats africains d’aviron. Je pense que le plus dur commence maintenant. Je suis conscient qu’il faut combler certaines choses pour faire de très bons jeux.
Quelles sont vos ambitions pour les JO 2020 ?
Il faut être honnête et dire que je serai face à ce qui se fait de mieux dans le monde. La première ambition sera d’améliorer mon chrono. Certains parleront de médailles, oui j’en rêve aussi. Et si je dois avoir une médaille, cela sous-entend que je dois améliorer mon chrono. De toutes façons, j’y vais pour jouer à fond toutes les possibilités et rendre fiers tous les Togolais.
Merci de nous avoir accordé cet entretien
Merci à vous et à la rédaction de Djenasport pour vos efforts.
